1) Les premiers pas, les premiers coups...
Imaginez les vertes plaines d'amakna, ses prairies, sa végétation luxuriante ou le presspic court encore... Le monde des 12, en 2007, allait naitre une vie. Nous somme dans une petite maison de l'arbre Hakam, demeure de deux parents Sadida: Goh Dasse et Seum el. Ce matin là, un heureux événement pour le couple - au reste nettement moins pour le monde qui ignorait jusqu'à l'existence des deux tourtereaux- se déroulait, sous les yeux ébahis d'un Poolay, étonné qu'il était d'entendre cri plus atroce que les siens. Sored était en train de voir le jour, enfin il faisait encore nuit à 3h00 du matin, et à défaut de voir le ciel, c'est le plancher de la frêle cabane qu'il vit de près, ce qui le marqua pour le reste de son existence. Psychologiquement surtout.
Sored grandit lentement, trèèès lentement tout d'abord, puis juste lentement tout après. à l'âge de sa première touffe de barbe, notre jeune sadida décida dans un élan d'autonomie, de quitter le domicile parental pour devenir... Un aventurier... A l'aventure compagnon, le voici parti pour l'horizon !! Il fit ses premiers rien (enfin ses premiers pas quoi, faites pas les difficiles !) dans Astrub et ses environs. Alors âgé d'une 10ène d'année, il commença à développer une passion pour la baston, d'abord à chassé les piou aux détours des ruelles, puis les presspic effrayés et les sangliers dans la forêt, Sored progressa tant bien que mal, en développant ça force brute et sa barbe, à défaut de son intellect... A force de coup de bâton, de ronces et autre acte plus ou moins violent, Sored finis par acquérir son premier Destrier qu'il baptisa Youpiyoupa, une dragodinde pourpre courageuse et téméraire qui le suivi durant maint combats, même dans les flammes de Brakmar...
Fatigué de courir comme un glandu dans les champs et les bois d'astrub, il migrât, en bon oiseau migrateur, vers les plaine de Cania. Il y devint la terreur des blops, exterminant tout ce qui bougeais, et même ce qui ne bougeais pas, ou plus, en bon bourrin qu'il était. Pendant ce génocide blopaire, il continua à gagner de l'expérience dans le domaine de l'aventure...
[ziouuuuuuuf]
avance rapide...Durant ses temps troublé, ou le kikou cours toujours, il développa un sens du bourrinisme primaire très virulent, ainsi qu'un humour ras de la semelle et une faim dévorante. Bavard intemporel, il courait les guildes, à la recherche d'une ou lié sa fidélité, ainsi que ses coups de bâton. Et puis le temps passa comme les asticots sur le cadavre d'un iop desséché. Un beau jour de l'été 2008, un besoin de retour à ses sources végétales lui vain, et il décida de se balader dans la forêt des abraknydes afin d'y couper du bois. Quand soudain ! Pas grand chose se produisit, mais il rencontra un jeune cra, vif et svelte du nom de El expert, se liant instantanément d'amitié, ils allèrent couper du bois ensemble. Pouf pouf, observons deux papi... observons 3 abraknydes !! L'abraknyde est uniquement composé de sciure, de planche de bois et un peu de contreplaqué pour agrandir
son ses nœuds*. Nos deux compères en occire une demi douzaine dans la joie, la bonne humeur et les copeaux de bois. Abordant le sujet des guildes, Sored avoua en être dépourvu et en chercher une correct ou il pourrai prouver sa subtilité au monde, si si... El expert l'invita dans la sienne, la noble Alvaro's. Rapidement Le jeune Sadida fut charmé par celle ci, il s'y fit rapidement une place importante par son charisme naturel (du à sa barbe luisante et ses muscles saillant
ainsi qu'aux coup de bâton sur la figure de toute personne s'opposant son ascension). Il se lia rapidement d'amitié avec des personnes éminentes de la guilde tel que Kra-quante, la meneuse et Waar, un jeune feca depuis longtemps dans cette guilde. Il débuta ainsi dans la nouvelle carrière de chieur. Emmerdant sa meneuse dès qu'il en eu l'occasion, il gagna en gloire auprès des membres de cette guilde, jusqu'alors rongé par le mal, la corrosion, et puis tout ce qui peut nuire au développement du cafard moyen, insecticide mise à part...
2) Ou Sored grandit.
Les jours passèrent comme les soldats sur une chèvre, puis les nuits et les semaines... Sored, comprenant que la voie du savoir mène à la voie de bourrinisme niveau 2, des dommage accru, et des maux de tête épouvantable, décida de s'enfermer dans la demeure des laineux Bouftou, diminuant ainsi le nombre à compter le soir avant de s'endormir. Il resta quatre longs mois dedans, au milieux des parchemins et des morceaux de viandes laineuse éparpillé dans les salles. Il finit par en sortir, lassé qu'il était d'apprendre encore et encore comment décuplé sa force. Il quitta sa tanière au relent de laines royales hélas un peu tôt, il n'était pas arriver au terme de son savoir... Cependant, talent de chieur oblige, il parvint à embobiner une frêle cra naïve, sa meneuse, afin qu'elle lui offre ce savoir manquant sous prétexte d'un anniversaire... C'est ainsi que notre Héros grandit, parcheminer à 101 force, il pu reprendre son entrainement et décupler grandement ça puissance de frappe, au grand damne du blop de base, qui allait en voir des multicolores. (groupe de 6 sinon pas de bonus)
Sored, fort de son nouveau savoir, décida que
quand il serai grand il serai parcheminé partout bisque bisque rage mais qu'avant ça, il pouvait enfin reprendre le gain d'expérience, afin de pouvoir avoir ces joyeux éclaires
comme ses héros préférés comme il le rêvai depuis tout petit nossuahc. (oui, un bébé sadida se nomme un nossuahc) Il fut donc repartie à vadrouillé dans les vaste plaine de cania, poursuivant les blop jusque dans leur demeure, affrontant mainte foi leurs rois, il finis par acquérir enfin ce qu'il désirait...le niveau d'aventurier 100 !! Autant dire qu'il ne se sentait plus pisser. Il pouvait enfin passer à la vitesse supérieur, continuant d'évoluer dans les coups et la bonne humeur, notre joyeux n'est-ce pas, drille, bourrina gaiment, fracassant de la créature innocente, quand un plan d'une ingéniosité telle que la plupart des gens dans sa tranche de niveau y songe, naquit dans son esprit... Afin d'être en total communion avec la nature, il allait s'habiller de planches, directement récupéré avec les morceaux de bras d'une créature de légende, l'Abraknyde Ancestrale.
Blop reposez vous en paix, amis à la gueule de bois vous allez boire la tasse ! 1,2,3 le voilà au bois, 4, 5, 6 cueillir des tronknydes... Il parcouru la forêt des Abraknydes afin de trouver leur repère secret, la sillonnant régulièrement, combattant avec acharnement au milieux des échardes, copeaux, dans une rude et héroïque lutte pour la gloire et...
Biiiiiip, mensonge détecté, récit rebooté.Donc, dans un élan de flemmardise peu commune, il pris ses bourses à deux mains, son bâton dans l'autre et retourna se faire du bouftou afin de jouir d'une somme de kama rondelette, qui lui permis d'acheter sa panoplie Abraknyde Ancestrale sans avoir à la monter soit-même parce que c'est vrai quoi à la fin, Ikéo ils sont gentils, mais on est pas tous des Monsieur Bricolage en herbes folles...
Ainsi sored acquit sa première panoplie de bourrin débutant, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer...
Ou Sored grandit, mais encore un peu plus et fait pas chier c'est pas pareil que dans le chapitre deux. Namého.
Imaginez les vastes pleines de sidimote... De longues étendu de terre décharné, victime d'un mal grandissant, royaume des bworks et des koléras, des terres ou la végétation est morte né, seule endroit du monde des 12 ou vous pourrez trouvé des arbres mort-vivant, poussant calciné, sans une trace de vie... Un univers de chaos, ou vos pas soulève un nuage de poussière lourde comme, disons la vapeur toxique se dégageant des dessous de bras d'un trool pendant la saison des amours... Une lande desséchée, noir ou la couleur à pris peur... De ses terres donc, ou le mal règne et blablablah, nous parviens des cris atroces d'agonie... Des cris venant d'une tanière sombre et froide, ou l'humidité vous glaces les veines, cristallisant le courage des héros, conservant les haricots surgelés d'un aventurier particulièrement prévenant...
Mais revenons un peu en arrière, et retrouvons notre héros valeureux, bienheureux...et affreux. Tous de planche vêtu, bâton à la main, écharde dans les doigts, Sored est allonger sur le sable fin d'otomail, à glandouiller au soleil, se prélassant au son de l'agonie du dernier corailleur de passage sur son chemin. Il rêve de l'avenir, de ses prochains projets en dévorant à belles dents un morceau de Canidé rôti à la braise, façon grand-mère. Ses pensée virevoltants entres ses poils de barbe, l'esprit en vagabondage, il réfléchit dure. Que faire maintenant qu'il à enfin la gueule de bois ancestrale, maintenant qu'il roxx du jambon de parme, avec ou sans l'assaisonnement régional ??
Quand Soudain !! Ses yeux se posèrent sur le corps sans vie du canidé, ligoté à la selle de Youpiyoupa comme un saucisson dans la chambre froide d'un boucher, Sored s'écria :
_Bonsangmaisc'estbiensur !! ce qu'il te faut grand couillon***, ce qu'il te faut c'est de la peau de caniche géant ! le truc la !! le machin ! le bidule, le limou...le milou...le mini-milou...tintin, j'ai encore oublier. Ah oui ! le meulou !! Il me faut son déguisement, comme ça en plus de faire peur à tout le monde doté d'un minimum de bon gout et d'un sens du danger correct, je vais pouvoir bourriner encore plus fort qu'avant, tralalalalèreuuh !!
Puis, ouvrant d'un geste vif Le Redouté, Catalogue de commande vestimentaire pour tout aventuriers, il l'ouvrit à la page de la dite panoplie... S'en suivit alors une période de déprime quand au prix des éléments divers, et une envie de tout cramer parce que c'est c-- de marchand font vraiment chi---, esclavagiste de m-----, et ----...(ainsi que quelque minute de tirets intempestif)
Puis ce fut la fin. Pour les bouftous du moins. Les massacrant sans relâche afin de récolter leur cornes, laines et autres éléments dit : "SKO" (littéralement : Source de Kama oblige.") afin de s'offrir enfin la panoplie de ses rêves, idéale pour aller draguer les sadidettes sur les plages de pandala. Je ne vous ferai pas le compte rendu détaillé de cette période sans intérêt particulier, mais nous pouvons convenablement estimer que le nombre de victimes laineuse durant cette saison, fut de plusieurs centaines et source d'un ennuis sans pareil pour notre valeureux héros au cœur pur et au mains tachées de sang-de bouftous bien évidement-.
Toujours est-t-il que, au bout de plusieurs mois de dur labeur et de génocide laineux, Sored finis par acquérir sa pano bien-aimée, qu'il enfila en jubilant, tout en sentant germé dans sa tête un plan machiavélique, diabolique, d'une violence sans pareil sinon dans les films américains.
Mais, afin que vous puissiez comprendre ce qui suivra peut-être, il me faut à nouveaux revenir en arrière, des mois auparavant, ou Sored rencontra un félin...
Nous somme à Bonta, ville des anges béni par quelque Dieu, maudit part d'autre, une ville ou il fait bon vivre, boire, manger, et faire les hôtels de ventes pendant les soldes. Descendons encore un peu, dans les égout de la dite ville, ou les rats pullulent, ou Sored frappe impitoyablement... Mais il ne frappe pas seul. Non, ayant décider d'aller nettoyer un peu la tanière de ces rongeurs, et éliminer leur chef, le Rat Blanc, Sored à réunis un petit groupe de combattants. le voici qui se bat côte à côte avec l'un deux, Oo-powa, un jeune écaflip déjà expert dans l'art de tabasser tout ce qui bouge, toujours partant pour la baston. Il va sans dire que Notre Sadida Chéri se lia immédiatement d'amitié avec ce joyeux bourrineur et massacrait à présent dans la joie leurs amis rongeurs. Se donjon marqua le début d'une grande amitié, et de la fin d'un grand nombre de montres divers...
Donc pour en revenir à nos bouftous, actuellement le ventre à l'air, les tripes aux corbac, Sored élaborait dans son esprit aussi retords et noueux qu'une branche du Chêne Mou, un plan de vengeance, un plan de chien... Et de chien parlons-en !! A il lui en avait fait baver, ce Meulou pourri, et en bavant on à la rage, CQFD, et il l'avait le Sored, il voyait tellement rouge même... Et il voulait en faire voir de toute les couleurs à ce chien violacé !!
Alors il monta une équipe de quelque aventuriers vigoureux, en compagnie de Niko, le véritable nom d'Oo-powa. L'équipe parti donc, à travers les plaines, tabasser du caniche, histoire de montrer qu'on ne contrarie pas impunément un bourrin breveté.
Arrivé à l'entrée de l'antre du monstre, il foncèrent tête baissée dans le tas, découpant en fine lamelle poilues les cabots se trouvant sur leur chemins, semant la pagaille un peu partout, et posant dans un coin sombre une boite de haricots surgelée parce que bon, on est jamais trop prudent, des fois qu'on est un petit creux dans le donjon. Puis, ce fus l'arrivé devant La bête, 3 mètres de poils, de crocs, de griffes et de haine envers ceux qui venaient de détruire la moitié de l'édifice dans les cris de joie...
Bravement, bâton à la main, Sored s'avança...
* Comme le dis le Divin Chêne Mou, en sortant de sa torpeur: "Par mon Gland**, ça c'est sciure !"
**c'est le grand âge, les hommes perdent leurs dents, les chêne leurs glands...
*** Oui, Sored quand il se parle s'appelle Grand couillon, par peur de choper la grosse tête si il s'appelle Petit surdoué.
[la suite plus tard]
Sam 6 Mar - 21:49
